L'arleri

Le vieux peintre parle à son modèle. Il se souvient de ses vies amoureuses pour dire tout ce qu'il sait des relations entre les hommes et les femmes. Il a vu, vécu beaucoup, et connaît depuis longtemps l'histoire des sentiments et des désirs. Mais il restera toujours l'arleri, petit oiseau du Midi qu'on dit sans cervelle, fragile, sautillant, étranger à la raison des hommes. Dans la poésie et la naïveté inaltérables de son regard, renaît sans cesse la force singulière de son art.
Baudoin renoue avec une thématique qui lui est chère – l'artiste et son modèle – et s'attaque aux questions essentielles par le dessin, comme nul autre le fait. «L'Arleri» est un hymne à l'amour et aux femmes, mais aussi à la tolérance et à la compassion.
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      • 104 pages 170 x 240 mm

        ISBN : 9782070614523

        Date de parution : 29/05/2008

La presse en parle

«Du Baudoin comme on l'aime, sensible, doux, fragile mais toujours respectueux de la gent féminine» (DBD, juin 2008).

«Hors normes et du hors temps, l'artiste niçois n'en fini pas d'essayer de comprendre les femmes du bout de sa plume et son imaginaire» (DBD, juin 2008).

«Le barbouilleur niçois semble chanter avec ses couleurs un hymne à l'amour, aux femmes et à la tolérance (...) Baudoin sautille d'une technique à l'autre sans incohérence et avec bonheur» (Bodoï, juin 2008).

«Edmond Baudoin nous offre là une très belle réflexion sur les relations complexes entre les hommes et les femmes. Le tout enchâssé dans une «mise en images» très picturale, qui fait de cet album un véritable petit bijou» (Impact médecin, juin 2008).

«Un bijou de délicatesse graphique, aquarellé par le génial Edmond Baudouin ! [...] On en ressort le cœur tout ensoleillé. » (Le Soir, Juin 2008)

«Au fil de planches où son talent graphique se surpasse, avec des crayonnés et des mises en couleurs de toute beauté, Baudouin tisse un parallèle habile entre amour et art, entre l'artiste et son modèle.» (Ouest France, Septembre 2008)

«Dans ce magnifique crédo d'un homme qui aimait trop les femmes, Baudouin lâche toute l'étendue de sa palette magique : aquarelles rouges feu pour la sensualité, visages gris-bleu nuit pour les chagrins d'amour, le tout vibrant et vivant à chaque page. Du très, très grand art» (Métro, Juin 2008)

«Ses personnages se racontent comme ils se dénudent, sans détour et sans fard. L'émotion jaillit du crayonné» (Télérama Sortir, juin 2008)


«On en ressort le cœur tout ensoleillé» (Le Soir, juin 2008)