Les Derniers Jours d'Ellis Cutting
Une histoire conçue comme une tragédie grecque, et où l'aventure et les coups de feu n'excluent ni la poésie ni le sens.
Fin XIXe, en Amérique du Nord, la ruée vers l'or touche à sa fin. Ellis Cutting se rend dans un camp de chercheurs d'or, espérant trouver un peu de répit dans sa fuite, et conscient que les agents Pinkerton le traqueront sans relâche. Mais un mystérieux passeur lui confie qu'il va mourir en ces lieux. Entre truanderie, règlements de comptes, rencontres et cinématographe, Ellis va pourtant se surprendre à croire en un avenir meilleur.
Fin XIXe, en Amérique du Nord, la ruée vers l'or touche à sa fin. Ellis Cutting se rend dans un camp de chercheurs d'or, espérant trouver un peu de répit dans sa fuite, et conscient que les agents Pinkerton le traqueront sans relâche. Mais un mystérieux passeur lui confie qu'il va mourir en ces lieux. Entre truanderie, règlements de comptes, rencontres et cinématographe, Ellis va pourtant se surprendre à croire en un avenir meilleur.
La presse en parle
«Western sans cow-boys, servi par un dessin magnifique et des couleurs fantomatiques, construit comme une tragédie grecque" (PAGE).
« Une vraie fausse tragédie aux rebondissements d'une acide ironie » (Télérama).
«Un premier ouvrage habile et séduisant» (ZOO, mai-juin 2010).
«Le pari réussi de Thomas Vieille, qui revisite le genre (Western) sans jamais verser dans les facilités de la parodie. Ce nouveau venu de 28 ans signe là un excellent premier album» (Télérama, 23 juin 2010).
« Une vraie fausse tragédie aux rebondissements d'une acide ironie » (Télérama).
«Un premier ouvrage habile et séduisant» (ZOO, mai-juin 2010).
«Le pari réussi de Thomas Vieille, qui revisite le genre (Western) sans jamais verser dans les facilités de la parodie. Ce nouveau venu de 28 ans signe là un excellent premier album» (Télérama, 23 juin 2010).